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– la rome impériale 
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mée dans les studios de la Sevilla-Films à Madrid avec un
budget d’un million de $. Distribué sous forme de long mé-
trage par Empire Films aux USA en 1965 seulement, où
Macdonald Carey prête sa voix au Christ (dont on ne voit
jamais le visage). Film béni par le pape Pie XII et primé lors
de la IV 
e
Semaine internationale du Cinéma religieux de
Valladolid en 1959.
1957 (tv)
The Trial of Pontius Pilate
(US) « Lucky Strike
Theatre » nº 313 (22.4.57). – av. Bruce Gordon (Ponce
Pilate), Maria Palmer (Claudia Procula), Max Adrian,
House Jameson.
1957
Acts of the Apostles /The Book of Acts Series
(US)
Broadman Films (LifeWay Christian Resources), Nash-
ville, Tennessee, 150 min. / 10 × 15 min. – av. Nelson
Leigh (l’apôtre Paul). –
Reconstitution très fauchée des
Actes des Apôtres (en couleurs). Emprisonné à Rome, saint
Paul raconte. Episodes : 1. « Endued with Power » – 2. «A
Faithful Witness » – 3. « Light from Heaven » – 4. «No
Respecter of Persons » – 5. «God’s Care of His Own » –
6. « Every Christian a Missionary » – 7. « Salvation and
Christian Fellowship » – 8. «What Must I Do to Be Saved »
– 9. «Witness Before a King » – 10. «Triumphant (Saint
Paul in Rome) ». Film destiné aux paroisses protestantes
américaines.
1957 (tv)
The Other Wise Man /The Story of the Other
Wise Man
(US) Norman Morgan ; «The Kraft Tele-
vision Theatre » [d’apr. Henry Van Dyke]; (NBC
25.12.57), 30 min. – av. Richard Kiley (le sage persan
Artaban), Dolores Vitina, Alexander Scourby, Robert
Pastene, Noel Leslie, Alan Shayne. –
cf. version 1953.
1957 (tv-mus)
Amahl and the Night Visitors
(Austra-
lie) Christopher Muir [d’apr. G. C. Menotti] (ABC
18.12.57), 50 min. – av. Joyce Simmons (la mère), An-
thony Monopoli (Amahl), Neil Easton (Melchior), Neil
Warren-Smith (Balthasar), Victor Franklin (Gaspard). –
Direction musicale de Joseph Post (Melbourne Symphony
Orchestra), cf. version de 1951.
1958
The Power of the Resurrection
(US) Harold Schus-
ter; Family Films Production St. Louis, Missouri (Sam
Hersh & Henry Denker), 60 min. – av. Jon Shepodd
(Jésus-Christ), Richard Kiley (Pierre), Jan Arvan (Judas),
Robert Cornthwaite (Caïphe), Stephen Joyce (Jean),
Lisa Pons (Marie-Madeleine), Mary Patton (Marie),
Booth Colman (Jacques), Dan Riss (Thomas), Warren
Parker (André), Morris Ankrum, Charles Maxwell, Jo-
seph Sonessa. –
Dans une prison à Rome, Pierre conte les
dernières semaines de la vie du Christ à un jeune converti
romain. Celui-ci est renforcé dans ses certitudes et attend
le martyre avec sérénité. Film destiné aux circuits religieux
américains («National Council of the Churches of Christ in
the U.S.A. ») et aux programmes de Pâques et de fin d’an-
née à la télévision. Tourné en Technicolor dans les studios
Keywest à Hollywood, avec quantité de fausses barbes.
1958 (tv)
Ein gewisser Judas
(DE) Oskar Werner ; Süd-
westfunk (SWF 19.11.58), 90 min. – av. Oskar Wer-
ner (Judas), Gertrud Kückelmann (Léa), Josef Sieber,
Rudolf Rhomberg, Walter Ladengast, Franz Messner,
Karl Lieffen, Veit Relin. –
Le futur interprète de Truf-
faut (
Jules et Jim
) dans une dramatique d’après la pièce
Un nommé Judas
de Pierre Bost et Claude-André Puget,
déjà filmée en 1956 (cf. supra).
1958
La spada e la croce / La espada y la cruz
(L’épée et
la croix /Marie-Madeleine)
(IT / ES) Carlo Ludovico
Bragaglia, Antonio Petrucci (v. esp.) ; Ottavio Poggi-Li-
ber Film, 105 min. – av. Yvonne De Carlo (Marie-Ma-
deleine), Jorge Mistral (Gaius Marcellus), Rossana Po-
destà (Marthe), Massimo Serato (Anan), Andrea Aureli
(Barabbas), Philippe Hersent (Ponce Pilate), Rossana
Rory (Claudia Procula), Terence Hill [=Mario Girotti]
(Lazare), Robert Morgan (Judas), Nando Tamberlani
(Caïphe).
– Le centurion Gaius Marcellus écrase l’insur-
rection juive menée par Barabbas et délivre Marie-Ma-
deleine, une courtisane que le rebelle tenait prisonnière
et qui s’éprend de lui. A Césarée, le militaire retrouve son
ancien ami Anan, financier secret de Barabbas et amant
dépravé de Marie-Madeleine qu’il oblige à exécuter une
danse lascive à demi-nue. Rejetée par le centurion, la cour-
tisane s’égare dans le Temple où le Christ la sauve de la la-
pidation. Elle est témoin de la résurrection de Lazare et
se convertit. Lorsque le Christ est arrêté, elle s’offre à Ba-
rabbas pour qu’il le relâche, mais ce dernier est trahi et
capturé. Devant Ponce Pilate, Anan manipule les foules
pour le faire libérer. Marie-Madeleine se détache de Gaius
Marcellus et consacre désormais sa vie à la propagation de
l’Evangile. – Marie-Madeleine et Barabbas, la prostituée
et le brigand, sexe, violence et religion dans une bande des-
sinée sans relief mais joliment costumée, montée autour
de la resplendissante Yvonne de Carlo, de passage à Rome
après quelques déboires à Hollywood. Cette première évo-
cation italienne de la vie du Christ depuis
La redenzione
di Maria di Magdala
de 1919 – les productions du Vati-
can mises à part – est tournée en Supercinescope et Ferra-
niacolor, en italien et en anglais, en utilisant les espaces
du Museo della Civiltà Romana de l’E.U.R. ainsi que les
Marie-Madeleine (Yvonne De Carlo) amoureuse d'un beau légion-
naire dans
La spada e la croce
(1958) de C. L. Bragaglia
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