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 l'antiquité au cinéma
remerciements
Mon épouse Jacqueline Dumont s’est chargée de la relecture du manuscrit, de son transfert infor-
matique, de la mise en page (coachée par Sébastien Meylan), de la gestion et du traitement des
images, de la recherche de fonds, de la supervision de l’impression.
Rémy Pithon (Université de Lausanne / Allaman), Claude Aubert (Lausanne), Pierre
Carrel (Lausanne), Raymond Scholer (Lausanne) et Lise Favre (Ollon) nous ont fait
l’amitié d’examiner certaines parties du manuscrit avec l’œil critique de l’historien
et / ou du cinéphile. André Chevailler (alors à la Cinémathèque suisse), s’est déme-
né avec son équipe du secteur iconographique pour réunir des trésors d’illustration.
Olivier Verrey, alors président, son successeur Marc Wehrlin, et Frédéric Maire, actuel directeur de
la Cinémathèque suisse à Lausanne, nous ont encouragés dans notre projet.
Enfin, rappelons que la Fondation de Famille Sandoz, la Fondation Pittet de la Société Acadé-
mique Vaudoise et la Fondation Leenaards (Lausanne) ont soutenu de manière déterminante la
publication de l'édition de 2009.
En matière d’histoire antique et d’archéologie, le présent ouvrage doit beaucoup à l’érudition en-
cyclopédique de mon ami Michel Eloy à Bruxelles, avec qui j’échange informations et documen-
tations depuis près de trente ans (cf. bibliographie, p. XXXIV).
Les chercheurs et historiens du cinéma Markku Salmi (British Film Institute, Londres), Vittorio
Martinelli † (Bologne) et Herbert Holba † (Filmdokumentation, Vienne) ont été d’une aide
capitale pour compléter la filmographie.
l'Egypte et la Turquie), les travaux d’inventaire du cinéma sonore sont très fragmentaires. Quant à
la production de télévision, c’est un continent difficile d’approche dont seuls la France, la Grande-
Bretagne, l’Italie, l’Espagne, la RFA et les Etats-Unis ont tenté de cerner l’ampleur, avec des résul-
tats forts inégaux. Des ouvrages de référence méthodiques font défaut dans la majorité des cas, et
les bulletins de programmation, quand ils subsistent, sont souvent lacunaires ou inaccessibles à la
consultation.
Ces réserves admises, et compte tenu de l’état actuel des recherches filmographiques sur le plan
international, l’ensemble du corpus devrait néanmoins donner un tableau relativement fiable de
toute la production de films sur l’Antiquité réalisés entre 1896 et 2008. La dimension inattendue
de cette compilation ainsi que la richesse de l’iconographie collectée nous ont incité à transformer
le fruit de trente ans de recherches en un «Argos » d’images et de récits d’autrefois, en une invita-
tion fantasmatique au voyage. Partez donc, comme Jason, comme Ulysse, à la découverte aventu-
reuse des mythes de toujours, de souvenirs enchanteurs et d’archipels inconnus.
H. D.
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