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1969 | (tv) **Jacquou le Croquant / Métayers des Nansac (FR) de Stellio Lorenzi (1e Ch. ORTF 4.10.-8.11.69), 6 x 50 min. – av. Eric Damain, Daniel Leroy (Jacquou Féral), Simone Rieutor (Marie Féral), Fred Ulysse (Martin Féral), Charles Moulin (le régisseur), Claude Cerval (comte de Nansac), Eric Damain (le petit Jacquou), Simone Rieutor (sa mère), Douchka (Jeanette Mion), Yvon Sarray (Dom Engelbert), Henri Nassiet (le curé Bonal). – La misère et la révolte des paysans du Haut-Périgord, de 1819 à la révolution de juillet 1830. Métayers de l’ignoble comte de Nansac et de l’aristocratie revancharde, les parents de Jacquou succombent sous les privations, le père meurt au bagne. Après la chute du roi, Jacquou soulève les paysans et incendie le château de Nansac. Il est acquitté (d’après la première partie du roman-feuilleton éponyme d’Eugène Le Roy, 1899). Un ancien projet de Louis Daquin, dont le communiste Lorenzi fut l’assistant. Tourné en décors naturels, en Périgord, le feuilleton porte la trace et l’esprit de mai 1968 et suscite des manifestations parmi les agriculteurs de l’Orne. Un succès public considérable. – Episodes : 1. « Les Métayers des Nansac » – 2. « La Nuit de la chandeleur » – 3. « La Tuilière » – 4. « Le Curé Bonal » – 5. « La Révolte de Fanlac » – 6. « 1830 ». |
1966 | (tv) Lazare le Pâtre (FR) de Jean-Marie Coldefy ORTF (1e Ch. 23.7.66), 82 min. - av. Pierre Asso (Cosimo I de' Medici), Nelly Borgeaud (Nativa Pazzi), François Maistre (Judaël de' Medici), Mario Pilar (Lazare Pazzi), Sady Rebbot (Giuliano Salviati), Raoul Billerey (Galeotto), Jean Sagols (Giuliano Salviati fils), Claude Cerval (Giacomo), Edmond Beauchamp (le paysan Matteo), Serge Sauvion (Battista), Jean Joseph (Angelo), Pierre Doris (frère Bartholomeo), Catherine Broe (Pippa), Dominique Lefort (Philipetto), Patrice Greber (Francesco), Douchka (Sylvia), Françoise Camplan (la servante), Jean Filliez (le geôlier). Synopsis : En 1458, deux partis s'opposent à Florence, celui des nobles dirigés par le duc Vitalo Pazzi et celui du peuple et des marchands, représenté par les Medici et les Salviati. Des amours secrètes de Giuliano Salviati et Nativa Pazzi est né un petit garçon, Giuliano, confié au paysan Matteo à Fiesole. Ayant appris l'existence de l'enfant, le duc Pazzi dépêche Battista pour l'enlever. Mais le père du nourrisson et son frère Raffaello qui se cache sous le déguisement de Lazare le Pâtre (Lazare Pazzi), cachent l'enfant à Naples. Au même instant, après avoir repris le pouvoir à Florence, Cosimo de' Medici, qui n'a pas d'héritiers, est en butte aux intrigues de son neveu Judaël qui veut à tout prix lui succéder... Un gros mélodrame historique dans le style du boulevard du Crime, avec masques, dagues, poison, enlèvements, machinations, etc. Et pour cause : la dramatique est tirée d'une pièce en quatre actes de Joseph Bouchardy, créé au Théâtre de l'Ambigu-Comique à Paris en 1840 et adaptée par Jacques Champreux. |
1965 | (tv) Donadieu (FR) de Stellio Lorenzi (TF1 2.2.65), 115 min. – av. Henri Nassiet (Donadieu), Maurice Chevit (Escambarlat), Georges Descrières (Lavalette), François Darbon (M. du Bosc), Yvette Etiévant (Barbe), Alain Mottet (Berthelien), André Valmy (Tiefenbach), Douchka (Judith). Château de Calargues, en 1629 : des réfugiés huguenots, rescapés du massacre de La Rochelle et dirigés par Donadieu, hébergent deux gentilhommes catholiques, parmi lesquels Judith croit reconnaître l’assassin de ses parents. Les lois de l’hospitalité seront-elles plus fortes que le désir de vengeance ? D’après la pièce de Fritz Hochwälder, « Donadieu ou La grâce d’Alès » (1953), qui s’inspire d’un drame authentique : le massacre de La Rochelle mentionné dans la pièce correspond en fait à la pendaison sauvage de plus de deux cents otages protestants et catholiques en octobre 1628, sur ordre du prince de Condé et de son adversaire, le duc de Rohan. Hochwälder établit une comparaison avec l’horreur d’Oradour-sur-Glane, village annihilé par la SS. |
1968 | (tv) Les Diables au village (FR) d’Yves Bernadou ORTF (1e Ch. 16.7.-1.8.68), 14 x 26 min. – av. Pierre Maguelon (Bramaire), Charles Blavette (Maître Bonnefé), Gérard Dessalles (Claudius), Michel Charrel (Paco), Maxime Piolot (Romano), Madeleine Cervanne (Herminie), Héléna Manson (la mère Cassette), Edmond Ardisson (le pape Grégoire XI de Beaufort), Henri Gilabert (Yeso, le chef des gitans), René Roussel (Foulques, fils du comte de Passeron et compagnon de Du Guesclin), Julia Dancourt, Douchka. La Provence en 1371, où l’arrivée d’une petite troupe de gitans dans le village de Rustrel sème l’émoi et la discorde. Ce feuilleton picaresque et régionaliste a l’originalité de ne pas mettre en scène des héros historiques ou de l’aristocratie, mais de simples villageois confrontés à une culture différente, celle des gitans. Tournage en Espagne, à Algimo de Alfara, près de Valence. Une tentative un peu marginale de renouveler le feuilleton historique, passée quasi inaperçue en raison de sa programmation malheureuse – juste après mai 1968… |