IV - L’ITALIE

5. LA RÉPUBLIQUE DE VENISE

Le dernier doge de Venise, Ludwig Manini, gouverne de 1789 à 1797. Sur décret du Directoire français, Venise devient République vénétienne en 1797/98, puis passe sous domination autrichienne.
1910Il mistero del Ponte dei Sospiri (Le Mystère du Pont des Soupirs à Venise) (IT) Itala Film, Torino, 283 m. – av. M. Rousseau. – Le doge a fait emprisonner Finli, mais son fils est fiancé avec la fille de son ennemi politique. Le jeune homme organise la fuite de son futur beau-père alors qu’il traverse le Pont des Soupirs pour être exécuté et ils s’échappent à bord d’une gondole.
1910Antonio Foscarini / Antonio Foscarini, gentilhomme de Venise (1647) (IT/FR) Film d’Arte Italiana-Pathé, 274 m. – av. Ernesto Sabbatini (Antonio Foscarini), Ambrogio Bagni (Contarini, membre du Conseil des Dix), Giannina Chiantoni (Teresa Confalonieri, sa femme). – Fils du doge, Antonio Foscarini aime Teresa, l’épouse du puissant Contarini, et lui donne rendez-vous près de l’ambassade d’Espagne. Contarini se venge en faisant accuser le jeune homme de trahison au profit de Madrid. Afin de protéger Teresa, le malheureux refuse de se défendre et son propre père doit prononcer la peine de mort.
1911Il figlio del Doge (Antonio Foscarini) (IT) Itala Film, Torino, 271 m. – cf. sujet du film précédent, partiellement tourné à Venise.
1924Die Kurtisane von Venedig (Das nackte Weib) / Die Courtisane von Venedig / Venezianische Liebesrache (AT) de Friedrich Feher ; Vita-Film AG, Wien, 2151 m./6 actes. – av. Magda Sonja (Carlotta), Raoul Aslan (Stelio), Hedwig Bleibtreu, Lucie Sonnenthal, Sybille Blei, Eugen Jensen, Anton Tiller, Viktor Franz. – Carlotta, une belle Vénitienne, trompe son vieux mari, le marquis Faraglia, pour Stelio, un peintre volage qui l’a peinte nue et se marie. Le marquis succombe à une crise cardiaque en découvrant l’adultère et Carlotta tente d’accuser son ancien amant de cette mort.
1923The Man Without Desire (GB) d’Adrian Brunel ; Atlas Biocraft, 7000 ft. – av. Ivor Novello (comte Vittorio Dandolo), Nina Vanna (Leonora), Christopher Walker (Roger), Sergio Mari (Almoro). – Venise en 1723. Un aristocrate traumatisé cherche l’oubli dans un sommeil artificiel et se réveille deux siècles plus tard. Tournage à Venise.
1952Il moschettiere fantasma (IT) de William French [=Max Calandri] ; Ferruccio Biancini/Lloyd Film, 85 min. – av. Vasito Bastino (Claude Venier, le « mousquetaire fantôme »), Tamara Lees (Sibilla), Rossana Podestà (Ornella), Clara Calamai (Marina Venier), Elio Steiner (l’inquisiteur Badoero), Carlo Ninchi (le doge Niccolo Donato). – Cape et épée à Venise en 1618. Des nobles conspirent pour s’emparer du pouvoir, encouragés par le Grand Inquisiteur Badoero qui veut devenir doge à la place du doge. Mais un justicier veille.
1953La Gioconda (La Joconde) (IT) de Giacinto Solito
Angelo ProiaGiuseppe Paolumbao/Organizzazione Cinematografica Internazionale (O.C.I.), 87 min. - av. Paolo Carlini (Enzo Grimaldi, prince de Santa Fiora), Alba Arnova (Gioconda), Elena Kleus (Laura), Stanislao Capello (le doge), Vittorio Vaser (Barnaba), Gino Scotti (Jacopo), Peter Trent (le Grand Inquisiteur Alvise Badoero).
Venise au XVIIe siècle. Banni de sa ville natale, Enzo Grimaldi, prince de Santa Flora, revient déguisé en marin. Il est aimé par la cantatrice Gioconda, mais aime Laura Adorno, la femme du Grand Conseiller Alvise Badoero. Barnaba, un espion qui convoite Gioconda mais qu'elle repousse, reconnait le prince et le dénonce au Conseil des Dix. Grimaldi et Laura se rencontrent en secret à bord de son navire, Giovonda les surprend mais reconnaît en Laura celle qui avait sauvé sa mère aveugle, La Cieca, injustement accusée de sorcellerie par Barnaba, et elle avertit le couple du danger. Grimaldi met le feu à son navire et s'enfuit avec Gioconda. Ayant découvert la liaison de sa femme, Alvise la contraint à prendre un poison, mais Gioconda y substitue un somnifère et sauve Laura, puis se suicide avec un poignard pour échapper à Barnaba, Furieux de voir Gioconda lui échapper, et dans un dernier geste de vengeance, il lui dit à l'oreille qu'il a fait noyer sa mère Le Cieca, mais en vain: Gioconda est déjà morte.
Le film illustre l'opéra en quatre actes d'Amilcare Pionchelli (1876), sur un livret d'Arrigo Boiti librement inspiré de la pièce "Angelo, tyran de Padoue" de Victor Hugo (1835) et dont l'action se déroule à Padoue pendant la Renaissance (cf.). [Aucun rapport en revanche avec la pièce homonyme de Gabriele D'Annunzio (1899).] Tourné en extérieurs à Venise, le film utilise la musique de Pionchelli, mais il n'est pas chanté. - US (tv): The Fighting Prince.
1952Sul ponte dei sospiri (Sur le pont des soupirs) (IT) d’Antonio Leonviola 
Enrico Bomba Prod.-Zeus Film, 102 min./88 min. – av. Frank Latimore (cpt. Vassilio Folengo), Maria Frau (Bianca Spada), Françoise Rosay (Mme de Sant’Agata), Eduardo Ciannelli (comte Zaccaria Folengo, Grand Inquisiteur), Massimo Girotti (Marco Spada), Carlo Micheluzzi (le doge Candiano), Luciana Vedovelli (Nerissa Fornier).
Venise en 1610-1625 : devenue adulte, Bianca Spada apprend que son père n’est pas mort, mais emprisonné à vie aux Piombi pour le meurtre de sa propre femme, crime qu’il n’a pas commis ; le capitaine Vassilio démasque le coupable, un usurpateur qui a pris l’identitié du Grand Inquisiteur, et le fait décapiter (tourné à Cinecittà, à Venise et dans la région de Cormos). Petit film de cape et d'épée dont le producteur Bomba a effacé tout le côté burlesque voulu par Leonviola. Les décors ont été conçus par le peintre surréaliste Giorgio De Chirico, une petite sensation car c'est son unique travail pour le cinéma. A voir : Françoise Rosay se battant à l’épée avec le faux Inquisiteur, ou se couchant allégrement sur le lit du doge pour lui expliquer la situation de sa protégée Bianca. Puis aussi le duel nocturne entre Maria Frau et Luciana Vedovelli, rivales en amour pour Frank Latimore. Nota bene : un sujet sans rapport aucun avec le roman « Le Pont des soupirs » de Michel Zévaco, qui se déroule un siècle plus tôt.
1953Eine Nacht in Venedig / DE : Komm in die Gondel (Une nuit à Venise) (AT) de Georg Wildhagen ; Nova-Film/Wien-Film GmbH, 90 min. – av. Hans Olden (le marquis Guido d’Urbino), Jeanette Schultze (Annina), Marianne Schönauer (Barbara Delaqua), Peter Pasetti (Coramello), Alfred Neugebauer (sénateur Delaqua), Lotte Lang (Ciboletta). – Chassé-croisé amoureux entre un marquis volage, ses proches et ses domestiques pendant le carnaval de Venise en 1750. Production balourde tournée en Agfacolor dans les studios viennois de Rosenhügel et à Venise, d’après l’opérette comique de Johann Strauss (1883).
1961Neraidhatis Manis [La Nymphe de Mani] (GR) d’Elias Maheras ; Maheras Prod., 86 min. – av. Daphne Skoura (Hélène), Andreas Zissimatos (Yiorgos), Marlen Papoulia, Elias Maheras, Theodoros Arabatzis, Christakis Artsitakos. – Aux début du XVIIe siècle dans un palais vénitien après la mort du doge. Hélène refuse d’épouser son cousin qui la fait enlever par des pirates. Le navire fait naufrage. Seule rescapée, Hélène est prise pour une sorcière par les habitants de l’île de Mani et Yiorgos, un berger fortuné, la sauve du bûcher et l’épouse. Tourné à Mani et dans les caves de Diros, d’après un fait authentique concernant la princesse Morosini, de la famille Mavromichalis.
1963Il Leone di San Marco (Le Lion de Saint-Marc) (IT) de Luigi Capuano 
Liber Film, 85 min. – av. Gordon Scott (Manrico Masiero, fils du doge), Gianna Maria Canale (la pirate Rossana), Rick Battaglia (Dandolo), Franca Bettoja (Isabella Fieschi), Alberto Farnese (le pirate Titta), Giulio Marchetti (Gualtiero), Feodor Chaliapin Jr. (le Doge), Mel Welles (le commandant des mercenaires).
Venise en 1620 est menacée par les pirates Titta et Rossana, que combat le fils du doge Masiero, surnommé le « lion de Saint-Marc » sur mer et sur terre, en s’emparant de leur refuge, le château de Raguse. Filmé aux studios IN.CI.R.-De Paolis à Rome et à Venise, en même temps que le film suivant de Capuano.
1963Il boia di Venezia (Le Bourreau de Venise) (IT) de Luigi Capuano 
Ottavio Poggi/Liber Film, 93 min. – av. Lex Barker (Sandrigo Bembo), Guy Madison (Rodrigo Zeno), Alessandra Panaro (Leonora Danin), Mario Petri (Guarnieri, le bourreau-pirate), Alberto Farnese (Michele Arcà), Giulio Marchetti (Bartolo), Feodor Chaliapin Jr. (le doge Giovanni Bembo).
En 1645, Sandrigo, le fils adoptif du doge mourant Giovanni Bembo, combat le Grand Inquisiteur tyrannique et fourbe, et son alllié, le pirate Guarnieri, devenu bourreau de Venise. Mais ce dernier reconnaît en Sandrigo son fils naturel, se retourne contre l’Inquisiteur et lui tranche la tête. Tournage en Eastmancolor et Supercinescope en mai-juin 1963 aux studios IN.CI.R.-De Paolis à Rome, extérieurs à Venise, sur l’île de Torcello et au château de Benátky en République tchèque.
1969(tv) Il Leone di San Marco – 1. Gioco scoperto – 2. Pericolo dal mare – 3. Verso Campoformio (IT) d’Aldo Grimaldi (RAI 2.4.69). – av. Marina Dolfini, Paola Quattrini, Cesare Polacco, Adolfo Geri, Carlo Giuffré, Marisa Fabbri. – Trois épisodes de l’histoire de Venise, de 1725 à 1800 (suite au XIXe s.).
1979(tv) La commediante veneziana (IT) de Salvatore Nocita (RAI 15.4.79), 5 x 60 min. – av. Angelica Ippolito (Teodora Ricci), Antonio Guidi (Carlo Gozzi), Giancarlo Dettori (Antonio Grataròl), Lucilla Morlacchi, Carlo Cattaneo, Laura Gianoli, Antonio Guidi, Alessandro Haber, Alessandro Quasimodo, Tino Schirinzi. – L’histoire romancée de Teodora Ricci-Bàrtoli (1750-1806 ?), la fameuse actrice vénitienne de la compagnie Sacchi à l’époque de Goldoni et Gozzi, et ses amours avec le politicien Don Pietro Grataròl, secrétaire d’État. Jaloux et ayant passé la cinquantaine, le comte Gozzi monte une cabale pour ruiner Grataròl qui est contraint de s’exiler. Teodora se console avec d’autres amants. Adaptation du roman éponyme de Raffaele Calzini (1935).
1979(tv-mus) La Gioconda (US/GB) de Lotfi Mansouri (th) et Kirk Browning (tv)
John Goberman, Kenneth Corden, Denis Moriarty/San Francisco Opera-BBCtv-KCET (BBC+PBS 29.9.79), 170 min. - av. Renata Scotto (La Gioconda), Luciano Pavarotti (Enzo Grimaldi), Stefania Toczyska (Laura Adorno), Margarita Lilova (La Cieca), Norman Mittemann (Barnaba), Ferrucio Furlanetto (Alvise Badoero), John Del Carlo (Zuane).
L'opéra d'Amilcare Pionchelli (1976), cf. film de 1953. Captation de la mise en scène de Lotfi Mansouri au San Francisco Opera (la meilleure captation de l'opéra à ce jour).
1986(tv-mus) La Gioconda (AT) de Filippo Sanjust (th) et Hugo Käch (tv)
Horst Bosch/ORF-Wiener Staatsoper-RM Associates(ORF), 169 min. - av. Eva Marton (La Gioconda), Plácido Domingo (Enzo Grimaldi), Matteo Manuguerra (Barnaba), Margarita Lilova (La Cieca), Ludmilla Semtschuk (Laura Adorno), Kurt Rydl (Alvise), Matteo Manuguerra.
L'opéra d'Amilcare Pionchelli (1976), cf. film de 1953.
1987La partita (IT) de Carlo Vanzina ; Tiger-Reteitalia, 102 min. – av. Matthew Modine, Corinne Cléry, Faye Dunaway (comtesse Matilde von Wallenstein), Jennifer Beals, Ian Bannen, Feodor Chaliapin. – Libertinages et poursuites amoureuses entre une baronne d’âge mur et un jeune chevalier ruiné.
1987(tv) Der Geisterseher (DE-RDA) de Rainer Bär ; Hans Reichel Prod.-DFF-Defa, 94 min. – av. Götz Schubert (le prince), Michele Marian (la Grècque), Otto Mellies (le cardinal), Arno Wyzniewski (l’abbé), Klaus-Peter Thiele (le secrétaire). – Un charlatan à Venise au XVIIIe siècle (d’après Friedrich Schiller).
1988(tv-mus) La Gioconda (ES)
TVE-Grand Teatro del Liceu (Barcelona) (TVE 13.5.88). - av. Grace Bumbry (La Gioconda), Florenza Cossotto (Laura), Viorica Cortez (La Cieca), Ermanno Mauro (Enzo Grimaldi), Ivo Vinco (Alvise), Matteo Manuguerra (Barnaba).
L'opéra d'Amilcare Pionchelli (1976), cf. film de 1953.
1989La maschera (IT) de Fiorella Infascelli ; RAI2-Luce-Italnoleggio-BIF, 90 min. – av. Helena Bonham-Carter, Michael Maloney, Feodor Chaliapin, Roberto Herlitzka, Saskia Colombaioni. – Conte libertin XVIIIe s. : un hobereau oisif et des comédiennes batifolent dans la campagne vénitienne.
2000Rosa e Cornelia (IT) de Giorgio Treves ; Gierre Fil-FilmTre, 90 min. – av. Stefania Rocca, Chiara Muti, Athina Cenci, Massimo Poggio, Daria Nicolodi, Massimo De Rossi. – Venise pendant le carneval, en 1748, l’amitié entre une aristocrate et une femme du peuple (d’apr. la comédie « L’attesa » de Remo Binosi).
2005(tv-mus) La Gioconda (ES) de Pietro D'Agostino (tv) et Pier Luigi Pizzi (th)
Gran Teatre del Liceu (Barcelona), 174 min. - av. Deborah Voigt (la Gioconda), Richard Margison (Enzo Grimaldi), Carlo Guelfi (Barnaba), Elisabetta Florillo (Laura Adorno), Carlo Colombara (Alvise Badoero), Ewa Podles (La Cieca), Josep Miquel Ribot (Zuane), Jon Piazaola (Isèpo), Pavel Kudinov (Bernabotto). - L'opéra d'Amilcare Ponchielli, cf. film de 1958.
2006(tv-mus) La Gioconda (IT) de Tiziano Mancini (tv) et Pier Luigi Pizzi (th)
Dynamic S.r.l.-Fondazione Arena di Verona, 162 min. - av. Andrea Gruber (Gioconda), Maro Berti (Enzo Grimaldi), Alberto Mastromarino (Barnaba), Carlo Colombara (Alvise Badoero), Ildikó Komiósi (Laura Adorno), Elisabetta Fiorilo (La Cieca), Francesco Palmieri (Zuana), Mauro Buffoli (Isepo). - L'opéra d'Amilcare Ponchielli, cf. film de 1958.

5.1. Antonio Vivaldi

(1678-1741), violoniste et compositeur vénitien, un des virtuoses du violon les plus admirés de son temps et un des plus importants compositeurs baroques (concertos de solistes). Prêtre catholique, il était surnommé "il prete rosso" en raison de sa chevelure rousse.
1979(tv) Antonio Vivaldi in Venice (GB) de Sarah Hellings et David Hugh ; série « Blue Peter Special Assignment » (BBC1 11.2.79), 40 min. – av. Gian Campi (Antonio Vivaldi), Anna Da Malta (Anna Giso), Matteo Campi (Vivaldi jeune), Angelo Tommasi (Gianbattista Vivaldi), Geoffrey Matthews, Sean Barrett.
1982(tv) Concierto barroco (Concert baroque) (MX) de José Montes-Baquer (FR2 22.12.82), 110 min. – av. Xavier Escriba (le gentilhomme mexicain), Beam Souare (Filomeno), Jean-François Balmer (Vivaldi), Ingfried Hoffmann (Haendel), José Montes-Baquer (Scarlatti), Nadiuska (Arminda), Caroline Sihol (Giuseppa Pirchner), Juraj Kukura (Ferdinand de Medicis). – Venise en 1733 : un gentilhomme mexicain et son valet noir Filomeno rencontrent Vivaldi, Haendel et Scarlatti (d’après le roman « Concierto Barroco » d’Alejo Carpentier, 1974).
1983(tv) Per Antonio Vivaldi (IT) de Massimo Scaglione ; RAI, 60 min. – av. Mariano Rigillo, Renato Scarpa (Offenbach), Sandro Dori (Benedetto Marcello), Roberto Chevallier (Carlo Goldoni).
1987(tv) Vivaldi (CA/IT/DE) de Richard Bocking ; CBC Toronto-RAI-Westdeutscher Rundfunk (CBC 30.9.-1.10.87), 2 x 60 min. – av. Steven Staryk (Antonio Vivaldi), Corey Cervosek (Vivaldi enfant), Arthur Grosser (Carlo Goldoni), Victor Knight (Edward Wright), Philip Pretten (Johann Pisendell), Tom Rack (Johann von Offenbach), Daniel Roussel (chevalier de Brosses), Christian Vidosa (Guido Bentivoglio), George Finstad (narration). – Docu-fiction sur la période 1678 à 1741, tourné à Venise.
2007Antonio Vivaldi, un prince à Venise (FR) de Jean-Louis Guillermou ; Vivaldi Productions-Lyons Entertainment, 95 min. – av. Stefano Dionisi (Antonio Vivaldi), Michel Serrault (évêque de Venise), Annette Schreiber (Anna Giro), Michel Galabru (le pape Benoît XIII), Philippe de Vallerin (le doge), Jean-Claude Lecas (père de Vivaldi), Bernard-Pierre Donnadieu (ambassadeur de France), Maud Jurez (Cécilia), Christian Vadim (Carlo Goldoni), Delphine Depardieu (Zanetta Vivaldi), Diane Fertikh (sœur d’Anna Giro), Jean-Claude Lecas (père de Vivaldi), Mélissandre Meertes (sœur de Vivaldi). – La vie de Vivaldi,surnommé « le prêtre rouge », tournée à Venise et dans la région parisienne. Une trajectoire dans la pauvreté, la maladie, poursuivi par l’hostilité tenace de l’évêque de Venise et la malchance.
2009Vivaldi, the Red Priest (IT) de Liana Marabini ; Riviera Films. – av. Steven Cree (Antonio Vivaldi), Clemency Burton-Hill, Charity Wakefield.
2011Vivaldi (US/BE) de Boris Damast ; Mechaniks-Hand Picked Films-Banana Films. – av. Max Irons (Antonio Vivaldi), Elle Fanning (Cristina), Neve Campbell (Norina), Alfred Molina (Tartini), Claire Foy (Julietta).